Étendu par terre avec un mince futon
entre moi et les tatamis, je me rends compte du sur-confort que l'on
bénéficie et que l'on recherche perpétuellement . Le besoin
matériel qui nous rassure et donne l'impression d'assouvir les
besoins physiologiques . Mais je n’arrête pas d’être
impressionné par le pragmatisme de la vie japonaise .
Ma chambre
fait 5 m² , a peine 3 tatamis . . La clim et le wi-fi, summum
du confort invisible du 21 me siècle prédomine désormais sur les
commodités qui sont sur le palier. Mais la recherche du gain de place est
immuable au japon . En pliant simplement mon futon , j'ai une pièce
pour étaler le contenu de ma valise et de l'agencer de jour en jour
afin de caser les derniers achats effectués .
Ce matin tout comme cet après midi je
n'ai aucun plan, juste voir des amis . C'est aussi important que le
tourisme . . a 11H je dérange mon ami Aurélien et lui apporte
quelques affaires laissé chez jerem .
les futurs bureaux de la takamura store . |
On bouffe ensemble a son
appart, on va chercher quelques gyozas et un peu de riz .tout
simplement bon . Pour agrémenter cela quelques viennoiseries avec un
petit earl grey .
a la bonne franquette ! |
Par rapport a il y a 2 semaines ,
l'appartement se remplit de façon conséquente . Le bureau
commercial est presque déjà finalisé . Et les affaires de la
brocante de la dernière fois ont prix place et s’intègre
parfaitement au coté moderne des lieux , y a pas a dire, les vieux
meubles sont intemporels...
mais bon 3 heures ça passe vite et je
dois être au cœur d’Osaka dans une demi heure . Je suis a la
bourre et j'arrive avec 15 minutes de retard. Mais bon les filles ,
amies d'une copine a Lyon que j'avais vu il y a un mois et pris le
café chez moi , ne m'en tiennent pas rigueur et passons l’après
midi a chercher un truc genre salon de thé . Et c'est toujours la
même chose, quand on cherche quelques chose de précis, on tourne
pendant des heures avant de trouver un bouge qui convient .
De plus en partant de nulle part , je
ne sais pas comment on a fait mais on s'est retrouver devant le
mandaraké de umeda . Mon pote Aurélien m'avait dit qu'il y
passerais peut être y faire un tour, cela aurait été marrant de le
retrouver, mais bon pas d’Aurélien mais les filles ne
connaissaient pas ce genre de magasin , et ont réveillé quelques
morceaux de nostalgie en elles en parcourant les rayons .
S’en-suie un cappuccino et une
connerie genre mini crêpe fourré et prenons une pause bien mérité
.
Nous continuons la ballade par les
boutiques du complexe de la gare . Bouffe avec des noms français
plus ou moins improbables surtout des gâteaux et moult choses
sucrés...
les hotesses d'accueil d'une galerie marchande ont leur porte clés HK a leur couleurs . . . |
des enseignes célèbre comme bocuse , Paul , fauchon
etc... se mêlent avec d'autres maisons soit disant française mais
dont j'ignore jusqu'au nom en lui même malgré leur ancienneté
fièrement affiché, des maisons fondées autour des années 1900
mais dont je n'ai jamais entendu parler.
Mais quoi qu'il en soit , c'est
toujours très joli appétissant mais définitivement pas du tout
healthy ni indispensable . Je parlerais plutôt d'art éphémère
tellement certaines choses sont tellement belles qu'on ose même pas
les manger .
Mais bon toutes bonnes choses ont une
fin et il est déjà 19H … nous nous quittâmes avec quelques
embrassades . Je reprends le chemin de l’hôtel, une journée bien
rempli mais je vous l'accorde pas très intéressante pour les tiers
. Demain je testerais une ancienne maison de saké juste a coté de
Kobe . . . a suivre .
Bein si tu teste la maison du saké consciencieusement, on risque pas de te lire avant au moins 4 jours :P
RépondreSupprimerhe ho !! je suis cheminot . . . me prends pas pour un novice ^_^
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