vendredi 7 novembre 2014

le 6 novembre 2014

Étendu par terre avec un mince futon entre moi et les tatamis, je me rends compte du sur-confort que l'on bénéficie et que l'on recherche perpétuellement . Le besoin matériel qui nous rassure et donne l'impression d'assouvir les besoins physiologiques . Mais je n’arrête pas d’être impressionné par le pragmatisme de la vie japonaise .


 Ma chambre fait 5 m² , a peine 3 tatamis . . La clim et le wi-fi, summum du confort invisible du 21 me siècle prédomine désormais sur les commodités qui sont sur le palier. Mais la recherche du gain de place est immuable au japon . En pliant simplement mon futon , j'ai une pièce pour étaler le contenu de ma valise et de l'agencer de jour en jour afin de caser les derniers achats effectués .
Ce matin tout comme cet après midi je n'ai aucun plan, juste voir des amis . C'est aussi important que le tourisme . . a 11H je dérange mon ami Aurélien et lui apporte quelques affaires laissé chez jerem . 
les futurs bureaux de la takamura store . 
On bouffe ensemble a son appart, on va chercher quelques gyozas et un peu de riz .tout simplement bon . Pour agrémenter cela quelques viennoiseries avec un petit earl grey .
a la bonne franquette !
Par rapport a il y a 2 semaines , l'appartement se remplit de façon conséquente . Le bureau commercial est presque déjà finalisé . Et les affaires de la brocante de la dernière fois ont prix place et s’intègre parfaitement au coté moderne des lieux , y a pas a dire, les vieux meubles sont intemporels...
mais bon 3 heures ça passe vite et je dois être au cœur d’Osaka dans une demi heure . Je suis a la bourre et j'arrive avec 15 minutes de retard. Mais bon les filles , amies d'une copine a Lyon que j'avais vu il y a un mois et pris le café chez moi , ne m'en tiennent pas rigueur et passons l’après midi a chercher un truc genre salon de thé . Et c'est toujours la même chose, quand on cherche quelques chose de précis, on tourne pendant des heures avant de trouver un bouge qui convient .
De plus en partant de nulle part , je ne sais pas comment on a fait mais on s'est retrouver devant le mandaraké de umeda . Mon pote Aurélien m'avait dit qu'il y passerais peut être y faire un tour, cela aurait été marrant de le retrouver, mais bon pas d’Aurélien mais les filles ne connaissaient pas ce genre de magasin , et ont réveillé quelques morceaux de nostalgie en elles en parcourant les rayons .
S’en-suie un cappuccino et une connerie genre mini crêpe fourré et prenons une pause bien mérité .
Nous continuons la ballade par les boutiques du complexe de la gare . Bouffe avec des noms français plus ou moins improbables surtout des gâteaux et moult choses sucrés... 
les hotesses d'accueil d'une galerie marchande ont leur porte clés HK a leur couleurs . . . 

des enseignes célèbre comme bocuse , Paul , fauchon etc... se mêlent avec d'autres maisons soit disant française mais dont j'ignore jusqu'au nom en lui même malgré leur ancienneté fièrement affiché, des maisons fondées autour des années 1900 mais dont je n'ai jamais entendu parler.

Mais quoi qu'il en soit , c'est toujours très joli appétissant mais définitivement pas du tout healthy ni indispensable . Je parlerais plutôt d'art éphémère tellement certaines choses sont tellement belles qu'on ose même pas les manger .
Mais bon toutes bonnes choses ont une fin et il est déjà 19H … nous nous quittâmes avec quelques embrassades . Je reprends le chemin de l’hôtel, une journée bien rempli mais je vous l'accorde pas très intéressante pour les tiers . Demain je testerais une ancienne maison de saké juste a coté de Kobe . . . a suivre .


2 commentaires:

  1. Bein si tu teste la maison du saké consciencieusement, on risque pas de te lire avant au moins 4 jours :P

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    1. he ho !! je suis cheminot . . . me prends pas pour un novice ^_^

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